︎
                                                                                                                                                PUBLICATION       INSTAGRAM

ÉVELYNE COMTOIS 




Ce qui nous survivra =» lien vers vidéo performance Aire agricole, 2020. Galerie de l'UQAM qui, plutôt que de les enfermer, révèle la présence des grains. sur laquelle se presse le maïs; un jeu entre le contenu et son contenant, Les plaques d’argile s’assemblent dans la forme d’une tour d’entreposage, soulignant l’importance de ces réseaux invisibles pour permettre leur ancrage au sol. La série de sculptures Système racinaire s’inspire des travaux de Lore Kutschera (1917-2008), botaniste autrichienne ayant catégorisé la profondeur et l’extension des racines de plus de mille espèces végétales différentes. Les plantes récoltées sur la ferme sont ici réinterprétées par l’artiste qui déploie leurs racines dans l’espace, afin de témoigner de l’absurdité de ce système, mêlant déchets, plantes et terre. Présentée dans le cadre de Artch, cette installation présente une plateforme simulant un site d’enfouissement. Urne de mon père, porcelaine, 2022 Ce qui nous survivra, ARTCH, 2021 Système racinaire (blé), céramique (grès), 2023. Traces de tracteur, céramque (grès), 2024. Système racinaire (luzerne), céramique (grès), 2024. Crédit photo : Alexis Bernard Silo de maïs, céramique (grès), 2024. Crédit photo: Étienne Comtois La peine que l'agricultrice Rachelle vit à chaque fois qu'une vache décède 2024. Impression sur lin. Vêlage, Impression sur film acétate, boîte lumineuse. 2021. Abreuvoir, Porcelaine, 2024. dans une poésie, en abreuvoir pour les oiseaux. Sous le poids des graines qui maturent à sa tête, le tournesol se transforme, ainsi espérer guérir colombin par colombin. L’envie profonde de continuer le geste du façonnage et de la guérison entre lui et moi, Porcelaine, 2023 Un autel pour y reposer ma peine Répétition de la forme de l’urne de mon père. L’œuvre in situ fait écho à cette période de transit, où la machinerie grave le terrain. Durant les mois de la récolte du maïs, les allées et venues répétées du tracteur creusent le sol argileux à proximité de l’atelier de l’artiste. Les oeuvres précédentes font partie du projet De la terre à l'argile qui a reçu un appui financier dans le cadre d'une entente de partenariat entre le Conseil des arts et des lettres du Québec et la MRC de Rouville. Balle de foin, céramique (grès), 2024.